Edition 11 : Journalisme et Culture au cœur du FEJI

Les étudiants de l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication d’Abidjan (ISTC) ont célébré le lundi 20 février la 11e Édition du forum des étudiants en journalisme (FEJI). En présence de plusieurs autorités administratives, ils ont échangé sur le thème « Responsabilité sociale du journalisme culturel ».

Dans la cour de l’ISTC, des ballons oranges, blancs et gris indiquent le lieu de célébration. 8 heures 50, l’amphithéâtre où devait se tenir la cérémonie est vide et froide. Des sonorités africaines résonnent en boucle. Les étudiantes, hôtesse du jour se mettent en place pour recevoir les invités. Dans l’amphithéâtre, un magnifique pagne orangé est utilisé en guise de décoration pour symboliser la culture africaine. Des kakemonos de part et d’autre de la scène disposés en demi-cercle présentent les partenaires de l’événement.  09 heures 13, l’accueil débutent, les étudiants et les élèves de différentes écoles se font diriger par les hôtesses. Un écran géant en face dans l’amphi permet de suivre le déroulement de la cérémonie.

La cérémonie s’ouvre sur le coup d’envoi du modérateur. Aussitôt, la parole est donnée à la présidente du comité d’organisation, Claude Eboulé, pour son allocution. « Le forum des Étudiants en journalisme de l’ISTC est un cadre de réflexions d’échange entre les professionnels de l’information et les étudiants en journalisme. Il s’agit d’un outil de promotion et de partenariat visant à faciliter l’insertion des diplômés », indique-t-elle.

Au programme, des panels et des conférences enregistrés autour du journalisme et de la culture rythment ce rassemblement. Selon Scheinfora Gomet, directrice de l’école de journalisme de l’ISTC, « un journaliste sans culture va inéluctablement perdre la traversée du métier ».

Place au panel. D’un côté Lucien Houedanou paneliste et Président du cénacle des Journalistes seniors de Côte d’Ivoiren et de l’autre Frederic Grah Mel journaliste culturel. « Le critique est un expert, un sachant qui est bien au fait de l’histoire des productions d’esthétique dans son domaine. Il sert de relai entre l’écrivain le produit et le consommateur », relève Lucien Houedanou. « Le journalisme spécialisé est souhaitable et même nécessaire», indique Frederic Grah Mel avant d »‘ajouter : « il vous permet d’affirmer nos compétences dans un domaine dans lequel vous vous formez. Le journalisme culturel doit aller au-delà de son papier et écrire des livres ».

Audrey DOUKAGA

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